Editions : Gallimard Jeunesse
Nombre de pages : 298
Date de parution : 25 septembre 2014
Synopsis :
Folle amoureuse de Bo, l'étranger, Hama est contrainte de fuir avec lui. Commence alors pour eux un fabuleux périple à travers des territoires inconnus. Leur amour survivra-t-il à cette épreuve ? Parviendront-ils un jour à trouver leur place dans ce monde ?
Mon avis :
Merci aux éditions Gallimard Jeunesse pour cette découverte !
Comment écrire une chronique sur ce livre ? C'est un roman tellement à part, spécial et déstabilisant qu'il est très difficile pour moi de mettre des mots sur ce que j'ai ressenti pendant ma lecture.
En commençant ce livre, j'ai tout de suite trouvé que la façon d'aborder les personnages et l'histoire était très singulière. Le narrateur de la première partie est un inconnu pour le lecteur, c'est un habitant du village où vivent Bo et Hama. En seulement deux pages, on assiste à la rencontre et au coup de foudre entre les deux personnages principaux et je dois dire que l'on reste très extérieurs; leurs sentiments et leur vie personnelle ne sont presque pas décrits et ce sera le cas pendant la majorité de l'histoire. En raison de la plume très particulière de l'auteur, cette première partie m'a laissée dubitative et je ne savais pas bien si j'aimais ma lecture ou non.
Surprise lorsque l'on arrive à la deuxième partie : le changement de narrateur. Et celui-ci a été bénéfique pour moi car j'aimais beaucoup ce nouveau narrateur (je préfère taire son identité pour vous laisser la surprise). Son histoire m'a bien plus touchée que celle de Bo et d'Hama. Par ailleurs, à ce stade de ma lecture, je me suis enfin habituée à l'écriture d'Anne-Laure Bondoux et j'ai même fini par énormément l'aimer. Tant que nous sommes vivants dégage quelque chose de tellement fort, quelque chose de mélancolique qui m'a parfois mis les larmes aux yeux, sans raison apparente. La fin m'a prise aux tripes et je crois que ce qui m'est arrivé avec ce livre ne m'était jusqu'alors jamais arrivé : après l'avoir terminé, plus je pensais à ce livre, plus j'en étais enchantée. Je réalise que l'histoire ne m'a marquée qu'après coup et pas au moment de sa lecture et c'est la raison pour laquelle j'étais incapable d'écrire ma chronique après avoir refermé cette étrangeté qu'est Tant que nous sommes vivants.
Un dernier petit mot sur la couverture qui est à l'image de son contenu : c'est le genre de couverture que l'on a pas l'habitude de voir dans les rayons YA et, si elle m'avait laissée de marbre à première vue, je dois dire qu'après avoir lu le livre, on ne peut que comprendre à quel point elle est parfaite.
En commençant ce livre, j'ai tout de suite trouvé que la façon d'aborder les personnages et l'histoire était très singulière. Le narrateur de la première partie est un inconnu pour le lecteur, c'est un habitant du village où vivent Bo et Hama. En seulement deux pages, on assiste à la rencontre et au coup de foudre entre les deux personnages principaux et je dois dire que l'on reste très extérieurs; leurs sentiments et leur vie personnelle ne sont presque pas décrits et ce sera le cas pendant la majorité de l'histoire. En raison de la plume très particulière de l'auteur, cette première partie m'a laissée dubitative et je ne savais pas bien si j'aimais ma lecture ou non.
Surprise lorsque l'on arrive à la deuxième partie : le changement de narrateur. Et celui-ci a été bénéfique pour moi car j'aimais beaucoup ce nouveau narrateur (je préfère taire son identité pour vous laisser la surprise). Son histoire m'a bien plus touchée que celle de Bo et d'Hama. Par ailleurs, à ce stade de ma lecture, je me suis enfin habituée à l'écriture d'Anne-Laure Bondoux et j'ai même fini par énormément l'aimer. Tant que nous sommes vivants dégage quelque chose de tellement fort, quelque chose de mélancolique qui m'a parfois mis les larmes aux yeux, sans raison apparente. La fin m'a prise aux tripes et je crois que ce qui m'est arrivé avec ce livre ne m'était jusqu'alors jamais arrivé : après l'avoir terminé, plus je pensais à ce livre, plus j'en étais enchantée. Je réalise que l'histoire ne m'a marquée qu'après coup et pas au moment de sa lecture et c'est la raison pour laquelle j'étais incapable d'écrire ma chronique après avoir refermé cette étrangeté qu'est Tant que nous sommes vivants.
Un dernier petit mot sur la couverture qui est à l'image de son contenu : c'est le genre de couverture que l'on a pas l'habitude de voir dans les rayons YA et, si elle m'avait laissée de marbre à première vue, je dois dire qu'après avoir lu le livre, on ne peut que comprendre à quel point elle est parfaite.
En conclusion : Je vous recommande vraiment ce livre pour son côté hors du commun. Personnellement, je n'avais jamais lu un livre pareil et il m'a vraiment marquée.
Wow ton avis me donne très envie de découvrir ce livre ! :)
RépondreSupprimercomme toi j'ai trouvé que c'était très différent mais j'ai quand meme eu un peu de mal.
RépondreSupprimerJ'avais bien entendu dire qu'il était déstabilisant et assez... "rare". Bref, il me fait vraiment super envie :D
RépondreSupprimerIl a l'air vachement chouette !
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